POINT DE VUE DE VEDIBE
( Vieillir
dans la Dignité et le Bien-Etre )– 13 rue de la Rouen – 92190 Meudon
Synthèse
réalisée en 2002 – Réactualisée en septembre 2006
- Une maison proche des commerces et des services et le plus
près possible des enfants ou de ma famille.
- Obligation d’un directeur diplômé, motivé, avec un minimum de connaissance en gérontologie, et de grandes qualités humaines. Une
équipe qui prend la
peine de connaître chaque résidant.
- Personnel motivé et qualifié, dont la connaissance doit être constamment mise à niveau par des
stages sanctionnés par une évaluation, notamment pour l’accompagnement des
personnes handicapées et désorientées. Obligation d’un minimum d’agents
qualifiés par lit en fonction de la dépendance.
- Personnel attentif à nos besoins et aimant les personnes
âgées. Un personnel
stable et en nombre suffisant, qui ait du temps à nous consacrer.
- Les petites attentions du personnel sont indispensables au bien-être des
résidants. Le pire c’est l’indifférence. « Le médicament-parole, le médicament-humanité, est aussi vital que les autres et manque
trop souvent. Il est de ces silences qui font mal. »
- Les agents de service devraient aussi recevoir un minimum de formation à la connaissance
des personnes âgées et connaître les premiers gestes de secourisme. (Par
exemple en cas de fausse route à table).
- Personnel de nuit avec un minimum de formation en nombre suffisant et présence obligatoire d’une ou
plusieurs infirmières en fonction
du GMP (Gir Moyen Pondéré)
- Mise en place d’une équipe de personnel « volant »,
formé et spécialisé pour les week-end et les vacances, afin que les résidants ne soient pas lésés par le manque de
personnel.
- Avoir un interlocuteur privilégié, un référent comme il en existe dans les
établissements pour personnes handicapées.
- Avoir la garantie que tout sera fait pour assurer mon
bien-être en fin de vie, grâce
notamment, à une équipe formée à l’accompagnement de fin de vie, et aux
soins palliatifs adaptés.
- Encore plus important que le luxe ou le soleil, la proximité
d’une communauté de vie.
- Me permettre de conserver un rôle social dans la famille et si
possible dans le quartier. Ne pas être soudain abandonné par ceux qui
partageaient avec moi une activité.
- Ouvrir la maison vers l’extérieur en intégrant des services tels que haltes
garderies, restauration ouverte au quartier, salle pour le club du 3e âge, et pourquoi
pas crèche. S’il y a un parc, l’ouvrir aux jeunes enfants du quartier « De voir des enfants, ça nous
fait tellement plaisir ! »
- Avoir un secteur par unité pour un accueil de jour, de nuit, de week-end et hébergement temporaire, et faciliter l’échange avec des personnes âgées qui vivent encore à domicile. – Mettre à disposition une chambre d’hôte pour accueillir la famille de passage.
- Liberté d’aller et venir, même en fauteuil roulant, y compris en ville. Le risque zéro n’existe pas et il n’y a rien de pire que d’être cloîtré. Transports adaptés si besoin. Même handicapé, je veux me sentir vivant et libre ! -Ascenseur obligatoire et adapté au handicap dans toute maison de retraite !
- Dès que possible permettre de choisir l’orientation de la chambre : avec ou sans soleil, avec vue sur la rue et son mouvement, ou au contraire, chambre au calme. Fenêtre suffisamment basse pour me permettre de voir à l’extérieur même si je suis alité. Fenêtre à bascule qui allie la sécurité à la possibilité d’aérer correctement.
- A domicile les personnes âgées sont souvent derrière leur fenêtre pour voir la Vie. Prévoir une pièce où les résidants puissent profiter des mouvements de la rue. « Ce qui manque ici, ce sont les bruits de la Vie ! »
- Un domicile spacieux pour y apporter quelques meubles personnels et s’y déplacer en fauteuil roulant. Sanitaire complet. Un interrupteur accessible à la tête du lit notamment pour se lever la nuit !
- Je souhaite un certain pourcentage de chambre à 2, la solitude est parfois difficile, chacun doit pouvoir choisir ; ou prévoir des chambres pouvant communiquer.
- Pour les retraités du baby-boom et les autres : équipement suffisant pour permettre les
ordinateurs, internet, câble
etc...dans chaque chambre.
- Possibilité pour les moins handicapés d’entre nous d’avoir une plaque chauffante qui peut être mise hors d’usage en cas de trouble psychique.
- Bip d’alarme sur soi (on peut tomber n’importe où)
- Téléphone
en ligne directe afin de
permettre le choix de l’opérateur et un coût moins prohibitif.
- Couloirs larges avec mains courantes.
- Les portes coupe-feu doivent être ouvertes pour faciliter le passage avec déambulateur ou chaise roulante. Ces portes se referment automatiquement en cas d’alerte au feu.(ex : Hôpital Corentin Celton) ►►►
- Respecter l’adulte qui est en chacun de nous avec son passé, son expérience et son histoire, et nous appeler par notre nom et non pas « papi et mami » surtout lorsque l’on n’a pas eu la chance d’être grands-parents.
- Lorsqu’il frappe à ma porte, le personnel doit attendre que je
dise « Entrez ». Je suis chez moi. Imagine-t-on un personnel hôtelier
entrer dans une chambre sans y
être invité !
- Ne pas m’imposer l’heure du lever. Proscrire les aberrations de certains horaires. Respecter mon rythme !
- En crèche tout est pensé pour l’épanouissement de l’enfant. La maison de retraite ne doit pas être une simple garderie, une sorte de rebut. Les résidants doivent aussi pouvoir entretenir et développer leurs talents.
- Une animation qui ne s’impose pas mais dont le but est
de favoriser la
relation entre les résidants. Il faut que peu à peu des liens se nouent et que chacun invite
l’autre dans son « chez soi ». Le nouveau résidant doit être
présenté avec beaucoup de
chaleur humaine.
- Faciliter les échanges entre les familles des résidants et faire de la maison de retraite une
sorte de grande famille qui intègre les isolés. Proposer régulièrement des
déjeuners entre familles.
- La maison de retraite doit m’aider à me
sentir utile jusqu’à ma mort, et ne pas freiner l’aide que je pourrais apporter aux plus
handicapés sous prétexte de responsabilité.
- Encourager les bénévoles qui passent dans les chambres à avoir un échange réel avec les résidants, notamment les sans famille.
- En plus des Conseils de Vie Sociale trop souvent inefficaces, favoriser une association des résidants et des familles animée uniquement par eux-mêmes SANS la présence de la Direction ou du personnel, sauf à la demande de l’association sur un ordre du jour précis.
- Pouvoir disposer selon le cas, d’un petit carré de jardin, d’un balcon pour y cultiver fleurs ou légumes, ou m’offrir la possibilité d’entretenir certains parterres - Participer à des activités culinaires et au choix des menus.
- Pouvoir déguster des mets aux saveurs d’autrefois, et prohiber une réglementation sanitaire trop stricte.
- Choix du médecin et du type de médicaments (ex: homéopathie)
- Une boîte à idées sera mise dans un lieu discret sans obligation de révélation d’identité.
- Contrôle plus précis des différents paramètres qui entrent
dans le prix de journée
afin que les fonds soient effectivement utilisés pour le bien-être des
résidants (qualité de l’alimentation, des soins et de la vie quotidienne) et
que les budgets soient transparents pour permettre aux familles de faire des
comparaisons entre les différentes prestations des maisons de retraite.
- Pour assurer la garantie de notre bien-être, il faudrait des inspections
impromptues. Il est
inadmissible que l’établissement soit prévenu avant un contrôle. Contrôles
suivis de sanctions si nécessaire.
- Toute nouvelle création de maisons de retraite devrait être suivie d’un bilan sur la conception afin de prendre acte des aspects positifs ou négatifs.
LA MAISON DE RETRAITE DONT NOUS NE VOULONS PAS
- Maison isolée, sans lien avec la vie extérieure.
- Directeur sans qualification, ni qualité de cœur, que l’on ne voit jamais en dehors des grandes fêtes.
- Personnel incompétent, sans vocation à travailler auprès des personnes âgées.
- Ne pas être traité comme un objet qu’on lave au même titre que les toilettes ou le mobilier de la chambre, mais comme un être humain qui a besoin d’entrer en communication et d’être respecté.
- Je refuse qu’on aliène ma liberté par un règlement trop stricte
- Je refuse que l’on m’impose des protections alors qu’il suffirait que l’on m’aide à aller aux toilettes pour que je ne devienne pas incontinent(e).
- Nous refusons d’être traités comme des enfants.
- Nous refusons de vivre dans un lieu totalement aseptisé de toute vie extérieure.
- Un mobilier inadapté sur lequel on se fait mal quand on tombe (angles de table et bras de fauteuil saillants) fauteuil inconfortable.
- Une maison qui me laissera mourir seul, sans la moindre
attention, et pire encore, dans la souffrance « La condition dans laquelle on laisse mourir et
souffrir la personne âgée est une forme de crime. »
ANIMATION EN MAISON DE
RETRAITE,
QUELLE MISSION ?
MOTS-CLEFS :
Animation - Etablissement - Dépendance
-
Philippe Crône, Animateur,
Maison
de Retraite de Beaumont de Lomagne, Tarn et Garonne
E-mail : [email protected]
L'auteur, animateur dans une
Maison de Retraite, présente son point de vue sur l'animation dans un
établissement pour personnes âgées.
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Les établissements d'accueil de personnes âgées et dépendantes prennent conscience de l'importance des projets de soins centrés sur la personne. Chacun met ou mettra des projets macro-ciblés en place pour polariser chaque action vers l'unicité de l'individu . Mais un projet de soins n'a d'autre finalité que soigner... pour vivre, et vivre c'est lire qui on est dans le regard de l'autre, savoir qui on est pour que l'autre puisse se voir en nous, c'est échanger, donner, prendre, choisir. Vivre c'est trouver l'équilibre entre ce que l'on est et ce qu'est notre environnement social, culturel et géographique.
L'animation en maison de retraite a pour objectif de gérer cette dynamique sociale afin de permettre aux personnes de s'adapter à leur réalité et d'être reconnues dans le groupe.
L'entrée en institution est généralement mal vécue, d'une part parce qu'elle est la conséquence d'une perte d'autonomie et deuxièmement parce qu'elle est le fait de la perte des repères de vie. Ce mélange provoque une perte de l'estime de soi, une sensation d'inutilité accompagnée d'une altération de son image.
L'idéal serait que la
personne accepte son handicap, cause de l'entrée en institution, et à partir de
cette réalité, émette des projets.
C'est sur ce concept de savoir d'où on vient pour savoir qui on est et vouloir qui on sera, que l'animation a bâti sa mission.
Premier objectif, créer des groupes sociaux aux motivations différentes.
Il est préférable de créer plusieurs petits groupes d'intérêt que de chercher la quantité. Si on stimule la création de groupes de lecture, mémoire, gym, sortie, pétanque, chant, cuisine, jeux, etc., on multiplie les chances de permettre à un nouveau client de trouver sa place et de ce fait de trouver un rôle social.
Veiller à l'ouverture du groupe.
Le groupe est un outil d'intégration. Le travail de l'animateur est, à travers les activités, de promouvoir l'acceptation de la différence, du handicap. C'est le groupe qui va renvoyer l'image sociale de la personne, qui va lui donner sa place en son sein. Attention ! L'erreur est d'intervenir sur la hiérarchie du groupe, tout le monde ne peut pas être leader… et tout le monde ne le désire pas. Seule la mise en danger peut faire effet d'une intervention de l'animateur, mais une intervention du type "réflexion"
Deuxième objectif, promouvoir les projets.
Un groupe n'existe que parce que ses membres ont un intérêt commun, Promouvoir ces intérêts c'est permettre au groupe, et surtout à ses membres, d'évoluer. Mais il s'agit bien de promotion de projet, après un travail d'écoute.
Au regard de ce concept, on voit bien que l'animateur n'a pas de projet pour la personne, n'a pas non plus d'action directe, il a juste à gérer le climat social et l'environnement pour qu'ils soient "facilitateurs" d'adaptation, comme le jardinier prépare le terreau autour de l'arbre pour le faire pousser, si par cas on le voyait tirer sur son arbre pour l'aider à croître, on crierait au fou!
Mais "juste gérer le climat social" n'est pas une mince affaire! Ce climat social, ce sont les autres clients, les familles, le personnel, l'organisation, la direction, les locaux, l'extérieur, en fait tout ce qui peut influer sur la personne ou son image. De là à penser que l'animateur déborde du cadre occupationnel qu'on lui octroie souvent…
Pourtant il y a une limite de l'animation, très souvent mal vécue, L'adaptation sociale.
Les clients atteints de
démence n'entrent pas dans le cadre de l'animation, car la réponse à leur
problème est de l'ordre de la prise en charge. Le client dément n'a pas les
facultés d'avoir des projets de guérison, c'est donc aux soignants de faire des
projets pour la personne, de mettre en place des protocoles, de prendre le
destin de la personne en main. De plus cette prise en charge est individuelle,
loin de la notion de groupe d'animation.
Cela ne veut pas dire que l'animateur n'a pas d'action à avoir avec les clients déments, mais que ces actions s'inscrivent dans un projet de soins global de l'établissement. Par exemple dans le cas de l'intégration progressive d'une personne en début de démence dans un milieu social ou dans l'organisation d'un séjour thérapeutique en partenariat avec la psychologue et l'équipe soignante.
L'animation n'est pas un soin.
Un soin est un projet protocolaire, qui suit une logique quels que soient les acteurs. La qualité du soin dépend du respect et de la continuité de cette démarche. De plus un soin est une concentration d'actes sur un objectif très ciblé. En ce sens l'animation ne peut être considérée comme un soin. Chaque réunion de groupe dépend des éléments qui la compose, l'animateur gère l'évolution du groupe en fonction de sa perception de l'ensemble des individus, un autre animateur percevra différemment et proposera différemment sans pour autant altérer la qualité du travail. D'autre part l'animation n'est pas un acte dirigiste, pas de "faire" ou de "faire faire", mais de l'écoute et en retour des propositions de projet et un travail sur le climat social pour promouvoir ces projets.
Soigner c'est considérer la partie "malade" de la personne, animer c'est promouvoir le potentiel.
Développer l'animation dans
les établissements d'accueil de personnes âgées c'est donner à chaque client
l'opportunité de continuer à bâtir sa vie sur ses possibilités.
Et si le projet de soins n'a d'autre finalité que le projet de vie, l'animation doit être le relais de ce projet de soins.
Qui est Philippe Crône?
Animateur
à la Maison de Retraite de Beaumont depuis 1990, j'ai débuté en gériatrie, au
CHU de Toulouse Rangueil, en 1976 comme aide soignant. Muté pour raison de
meilleure qualité de vie ( la mienne) dans la campagne Tarn et Garonnaise en
1989, j'ai vite pris conscience que les "pensionnaires" avaient
besoin d'autre chose que de nursing. Une remise en question personnelle m'a
poussé vers une formation d'animateur en 1991 et une formation sur la relation
d'aide non directive, centrée sur la personne, basée sur le programme de Carl
Rogers en 1992, 1993.
Mes interventions régulières:
* Fondateur de l'association ARAPAI ( Association Régionale des Animateurs de Personnes Agées en Institution ) qui a pour objectif de réunir les expériences des animateurs de Midi Pyrénées pour dégager les points communs de nos actions de terrain afin de déterminer un cadre de travail et une déontologie de ce nouveau métier.
* Intervenant régulier à l'institut de formation en soins infirmiers du Tarn et Garonne auprès des élèves infirmières et aide soignantes sur l'animation en institution d'accueil de personnes âgées et dépendantes.
* Intervenant expert à de la jeunesse et sport de Midi Pyrénées pour les formations d'animateurs auprès des personnes âgées.
* Actuellement, ma recherche de respect de la personne tend vers un nouveau concept de relation service/ client et un objectif global de l'institution centré sur le client.
* Le client étant la personne institutionnalisée et/ou sa famille. Cette évolution de concept est un grand pas en avant dû essentiellement aux échanges inter disciplinaires de "gérialist"
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Toute référence à cet article doit préciser :
CRÔNE P. "Animation en maison de retraite,
quelle mission", Géront'on-line
(www.gerontonline.com), n°2, fév. 2000.
©
Geront'on-line, 2000, www.gerontonline.com
Webmaster
: Dr Jean-Pierre Martin
Ajout
indépendant (EDF)
Animer
Une entreprise est faite de femmes et d'hommes qui ont parfois des idées différentes sur la façon d'atteindre les objectifs. Dans le cadre d’une entreprise, le rôle de l'animateur est d'éviter la dispersion, d'amener l'ensemble des acteurs à une vision commune des enjeux.
Animer, c'est aussi rendre les gens adultes et responsables.
A. Quelques liens vers des organismes et vers annuaires d'établissements :
Si ces liens ne fonctionnent pas sur votre ordinateur, je vous invite à faire la recherche sur Google ou autre à partir des organismes cités.
- À la Société Française de Gériatrie et Gérontologie
49, rue Mirabeau. 75 016 Paris -
Tél: 01 41 12 87 12 - Mail: [email protected]
http://www.sfgg.fr/index.php?id=5
- À la Fondation Nationale de Gérontologie
49, rue Mirabeau. 75 016 Paris -
- Site des Médecins coordonnateurs
- PÉTRARQUE/ ANIMAGINE Annuaire des Maisons de Retraite
http://www.ma-retraite.com/maisons-de-retraite/maison-retraite-annuaire.html
- Vous avez par ailleurs (Recherche sur Google) une foule de liens concernant les annuaires de Maisons de retraite ("Taper" Annuaires des Maisons de Retraite).
- la FEHAP
- FHF. La Fédération Hospitalière de France
http://etablissements.fhf.fr/annuaire/
- L'UNIOPSS
http://www.uniopss.asso.fr/doAnnuaire.do?type=adherent
- Le SYNERPA
- AGEVILLAGE
http://www.agevillagepro.com/sousTheme-249-Reseaux-&-filieres.html
B. Consulter, pour informations et pistes :
- Liens divers :
http://www.sgoc.fr/annuaire.htm
http://agora.qc.ca/thematiques/inaptitude.nsf/Dossiers/Vieillesse
http://www.agevillagepro.com/sousTheme-249-Reseaux-&-filieres.html
http://www.viafamilia-grand-age.fr/index.php
PAPIDOC
http://membres.lycos.fr/papidoc/
États Généraux des Directeurs d’Etablissements
et Services Sanitaires, Sociaux et Médico-sociaux
Compte rendu intégral des débats -
www.compte-rendu.fr
Journées des Jeudi 6 et vendredi 7 décembre 2007
Charte
des professionnels en gérontologie
Elaborée
par l’Institut de gérontologie du Limousin,
assisté
par la Fondation nationale de Gérontologie
avec
le soutien de la DRASS du Limousin et de la CRAM du Centre Ouest.
http://documentation.agevillage.com/AgeNet/upload/documentation/charte_prof_gerontologie.pdf